Géolocalisation des établissements du répertoire SIRENE-pour les études statistiques

La géolocalisation des établissements du répertoire Sirene, pour les études statistiques est mise à disposition des utilisateurs. Les données concernent le géocodage des établissements (coordonnées X,Y) avec leur géoréférencement dans les zonages infra-communaux (IRIS, QPV, ZUS, QVA, voir la documentation associée).

• À compter du mois d’août 2024, le géoréférencement en QPV 2024 défini par le décret n° 2024-806 du 13 juillet 2024 (https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000049964604) est fourni pour la France métropolitaine.
• À compter du mois de novembre 2023, les codes commune et les Îlots regroupés pour l’information statistique (IRIS) utilisent les informations géographiques de 2023.
• À compter du mois de mars 2024, le géoréférencement en ZFU n’est plus fourni.

• Le fichier mensuel correspond aux établissements dont les données sont diffusibles et présents dans la base Sirene au 1er du mois.
• Il est mis en ligne le 21 du mois avec les informations géographiques suivantes : siret, coordonnées (X,Y), code commune, variables de qualité de la géolocalisation, positionnement dans les zonages (IRIS, QPV, ZUS, QVA).
• La géolocalisation concerne le territoire français hors Mayotte (Métropole, Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion). Le codage utilisé pour la métropole suit le système géodésique RGF93 Lambert 93, pour les Dom le système est différent (voir la documentation associée).
• La géolocalisation est réalisée par une application de géocodage automatique développée à l’Insee. Celle-ci est adossée à un référentiel d’adresses géolocalisées construit à partir du Répertoire d’Immeubles Localisés (RIL), qui intègre les coordonnées géographiques des adresses positionnées à l’accès du bâtiment pour les besoins du Recensement de la Population dans les communes de plus de 10 000 habitants, et de la géolocalisation des parcelles cadastrales.
• La géolocalisation des établissements actifs de 200 salariés ou plus a été systématiquement vérifiée par des gestionnaires de reprise de géolocalisation, ainsi que celle des établissements de 20 à 199 salariés pour lesquels la géolocalisation automatique est incertaine.